Paroles
Paroles et musique de Yann Sufreid
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Et voici le chat qui s’approche, tout doucement sans faire de bruit
Un coup mortel il lui décoche, puis dévore le pauvr’agnelet èèèèèèè
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Voici le chien furieux qui s’élance, il aboie dans toute la maison,
Court, attrape et se met à mordre, le chat qui mangea l’agnelet èèèèèèèè
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Et voici que le bâton frappe, fait pleuvoir cent coups sur le chien
Acharné qui ne cesse de mordre le chat qui mangea l’agnelet èèèèèèèè
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Voici le grand feu qui consume, brûle entièrement le bâton,
Qui frappa le chien qui mordit le chat qui mangea le doux agnelet èèèèèè
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Et l’eau éteint le feu qui brûle le bâton qui frappa le chien
Qui mordit le chat, cet assassin, qui mangea le pauvr’agnelet èèèèèèèè
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Et le bœuf but l’eau qui éteignit le feu qui brûla le bâton qui frappa le chien
Qui mordit le chat qui dévora l’agneau, pauvr’agnelet èèèèèèèèè
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Et voici le boucher qui égorge le bœuf qui lapa l’eau qui éteignit le feu qui brûla le bâton
Qui frappa le chien qui mordit le chat qui mangea l’agnelet èèèèèèèèè
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Voici l’ange de la mort qui supprime le boucher qui tua le bœuf qui lapa l’eau qui éteignit le feu qui brûla le bâton qui frappa le chien qui mordit le chat qui dévora l’agneau, malheureux et doux agnelet èèèèèèèè
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Au marché de la ville, mon père, pour deux sous, m’acheta un agneau,
Et le Grand Maître du Monde, supprima l’ange de la mort qui tua le boucher qui tua le bœuf qui lapa l’eau qui éteignit le feu qui brûla le bâton qui frappa le chien qui mordit le chat qui dévora l’agneau, le doux agnelet èèèèèèèèè